1. • CommentAuthorlecridelencre
   • CommentTimeJun 16th 2012 edited

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   soirée I WANT TO BELIEVE !

   Samedi 23 juin. A partir de 18H30. Au LIEUES, 32 rue des tables claudiennes, Lyon 1er

   Pour la sortie du quatrième numéro de I WANT TO BELIEVE, fanzine collectif édité par Manufacture Errata, la Manufacture Errata et le Cri de l’Encre s’associent pour vous présenter une soirée spéciale SF dans laquelle seront mêlés concerts, projections de films, expositions et autres surprises.

   I WANT TO BELIEVE est un fanzine qui existe depuis 2009. Sciences inexactes, cultures populaires, science-fiction, phénomènes aériens non expliqués sont les thématiques que quelques trente auteurs balisent d’essais théoriques fumeux, de nouvelles cosmogoniques, de comix et d’images surréalistes.
   Le quatrième numéro gravite autour d’un dossier spécial « SF & érotisme ».

   Vous pourrez retrouver les numéros de I WANT TO BELIEVE le samedi 23 juin à partir de 18H30.

   Entrée libre de 18H30 à 20H30.

   A partir de 20H, concerts, spectacles et projections s’enchaineront.

   Pour la modique somme de 3€, vous découvrirez :

   //// ZOVIET COSMOS, une projection de films de SF russes accompagnée d’une bande son bruitiste jouée en live.

   Ce sont les américains qui ont marché les premiers sur la lune et anéanti les espoirs socialistes d’une Union Soviétique du Cosmos. Pire, ils ont aussi gagné la guerre des images, en récupérant, pillant et rachetant pour une poignée de kopecks les droits des films russes.
   Qui connaît Pavel Klushantsev, ses trucages et ses plans réalisés 10 ans avant avant
   "L’odyssée de l’espace" ? Qui n’a pas tremblé d’effroi devant "Alien", mais qui a vu ce film au nom imprononçable de "Mechte Navstrechu" ? Le collectif H.A.K. propose 90 minutes d’images anthologiques tournées en Union Soviétique sans que nous, Occidentaux, n’en fûmes jamais au courant.
   Illustrant des classiques tels que le fantastique film de Klushantsev "En route pour les étoiles", ou les visions délirantes de "Mars" et de "Luna", Der Kommissar, Carlos Groendland et Sathonay poseront leur bande son destructurée sur ces "space operas" sans méchant et sans bataille.
   Juste l’homme face au cosmos. Et c’est beau le cosmos !

   http://extrasystole-music.blogspot.fr/2010/04/zoviet-cosmos-cine-concert.html

   //// WE ARE THE STARS, une musique et des êtres venus du fin fond de l’espace.

   Compte tenu de l’avancement des méthodes de propulsion, les projets et théories de voyage interstellaires se heurtent à un obstacle majeur : le temps qui demande souvent bien plus qu’une vie humaine pour relier deux étoiles.
   Ainsi L’ouvrage collectif Frontiers of propulsion sciences de l’American Institute of Aeronautics and Astronautics (AIAA), enterrait en février 2009 tous nos rêves de futur étoilé en combinaison alu pour au moins 15 générations.
   Un an plus tard, la communauté scientifique regarde d’un œil circonspect le projet “Where are the stars” initié par le label Fabrik qui risque de chambouler les prédications de l’astrophysique moderne.
   Une improvisation psychédélique et planante réalisée par Ben Merlin, Guitos et Jonas Bernath.

   http://www.myspace.com/fabrikwherearethestars

   //// PSCH-PSHIT, un concert queer robotique.
   Ces robots anthropomorphes à apparences féminines sont, dans le jargon scientifique, appelés les gynoïdes. Cependant, la question d'éthique a souvent été soulevée par cette génération montante de robots sexuels. Et si, en continuant le progrès dans le domaine de l'intelligence artificielle, un soulèvement de ses machines se produisait ? Plus le robot s'apparente à la forme humaine, plus les frontières de l' "Uncanny Valley" (la Vallée Dérangeante) peuvent être dépassées. Cette "Vallée" est le terme utilisé pour considérer le pallier psychologique maximum où l'homme accepte l'apparence physique d'un de ces gynoïdes. Ainsi, plus le robot s'apparente à l'humain, plus la gène occasionnée et le dérangement sont grands.
   Elles sont deux : Mariele (machines, voix et claviers) et Alice (voix, pads electroniques, claquettes).
   Leur live est un mariage de musique, de performance et de visuels, qui créé un univers visionnaire, sexy, et mystique. C'est dark, parfois planant, souvent sautillant, ça vous fera des palpitations au coeur et peut-être des guilis dans la culotte.

   http://pschpshit.bandcamp.com/

   //// + des surprises d’expérimentation sonore et vidéo à base de pellicules super 8 + une expo + une installation vidéo…

   3€ //// WELCOME OTHERS ///
   

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