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     CommentAuthormbertier
   • CommentTimeOct 9th 2014 edited

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   Au chinois le 30 octobre!

   Cette festivité anniversaire prend pour point de départ notre 1er album 'ADN 115' paru en 1994 mais au fond tout ça n'était qu'un prétexte pour faire un chiffre rond et inviter pour l'occasion amis et alliés dans une affiche qui ressemblerait à un festival idéal.
   (SI)

   JOUR 2 w/

   ASTREINTE
   Collectif jam-noise à géométrie variable, mariant une diversité humaine improbable ("hippies, crust punks, industrialists, garage rockers & a jazz fanatic") à une forte cohésion musicale, Astreinte produit une masse sonore dense, extatique, superbement stratifiée et psychédélique à souhait, à l'aide d'une instrumentation 'traditionnelle' (batterie, guitare, claviers, cuivres, voix) et moins traditionnelle (objets amplifiés, électroniques faits-maison).
   Originaire de Pau, repéré et produit par le label algero-égyptien Nashazphone (LP "C'est Pourquoi Il Importe, Aux Époques D'Adversité, De Demeurer Intérieurement Fort Et Sobre De Paroles”, 2009) et fortement inspiré par les pionniers de la japanoise (Hijokaidan, CCCC ...), cet énigmatique big-band, comprend de cinq à neuf (non)musiciens, tourne peu et chacune de leurs prestations donne lieu à un déferlement d'énergie sauvage, intense, contagieuse et débridée.

   Z.B. MOISTURE
   = Z.B.Aids + Evil Moisture
   Depuis 25 ans, Andy Bolus fabrique des ordinateurs. Il a généré un myriade de sons, ses installations sont devenues cultes. Son catalogue est maintenant disponible au Japon !
   Depuis 2,5 ans, Hendrik Hegray (aka Z.B. Aids) monte sa revue Coiffeurs Nazis controversée. Entre autres activités il peint, se repose, fait un fanzine.
   Ensemble ils poussent des boutons infernaux, attention !

   OPERA MORT
   = ÈLG + Fusiller depuis 2009
   Armés de leur meilleure volonté, ils développeront aléatoirement les 4 thèmes suivants :
   1. L’anti-dance dans la pièce d’à-côté à coups de crépitements électriques
   2. La mélancolie des circuits intégrés
   3. L’amour mal dit
   4. L’énergie du désespoir qui espère
   Au final, ils feront juste ce que les machines dicteront. Danse macabre, hypnose sale et électronique obsessionnelle face à un public déchaîné ou introspectif.

   JERÔME NOETINGER & LIONEL MARCHETTI
   Tous les deux, compositeurs de musique électro-acoustique et improvisateurs chevronnés, ils entament leur collaboration en 1993
   et créent depuis à chacune de leurs rencontres, une "hallucinante combinatoire morphologique quasi impossible à réaliser volontairement", organique et mutante, avec, comme constantes immuables de leurs performances - intensité, précision, finesse, humour, imagination et brio.

   Leur dispositif, fait de bric et de broc - comprenant micros, synthé(s) analogique(s), lecteurs de K7s + de CD, objets divers, jouets et autres bidouilles - est assemblé autour de ce qui reste leur instrument principal - le fameux Revox B77, magnétophone à bandes légendaire dont il n'arrêtent pas d'explorer et d'élargir les possibilités.

   "Improvisation totale. N'importe quoi permanent. Jeux de matières, de rythmes et de tensions. Brouillage des sources et découpage des pistes. De la limite de l'audible au hurlement du larsen." (Cave 12)

   SISTER IØDINE
   live en version contemporaine, c'est à dire post-Blame, pré-autre chose, pour finir mal la soirée.
   http://www.sister-iodine.net

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   ambiance musicale, avant, entre, après, les lives par
   Nico SDZ, responsable de l'excellent label SDZ records
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